9.04.2010

BABY I'M YOURS.

Dans la rubrique : "j'ai testé pour Vous" et "vie de fillasse"

Rencontrer des garçons sur les sites-qui-ne-sont-pas-fait-pour-ça.

n1 : Covoiturage.fr
Le pourquoi du comment du parce qu'on en fait qu'à sa tête ou "l'excuse en or" : un concert de Gogol Bordello à Toulouse. C'est loin et la SNCF, c'est cher, et pas pratique. Donc PLANB // covoiturage.fr : une inscription gratuite et rapide, trois mails et hop. Une voiture et un nouveau copain. Forcément, on checke facebook pour savoir quel tête à le garçon, et quelques clics plus tard... on oublie.

La bonne idée : partir avec une copine, pour les privates jokes, les codes secrets, le pack de bières et les fous rires pendant le concert. BONNEAMBIANCE.
Le plus : trouver un covoitureur pour un concert, c'est être sur d'avoir au moins quinze heures de conversation, et des centaines de points communs - musicaux pour le coup, chanter doucement, puis plus fort (AHAHA) et puis dormir sur le chemin du retour, comme un lâche. Évidemment, comme les numéros sont échangés avant même la rencontre, EAAAASY de ne pas se lâcher.

Le "après : ça donne, quinze sms, une soirée arrosée, une promenade à bicyclette, rien du tout, un sms pour s'en vouloir et savoir que ces quelques secondes d'hésitation étaient partagées. Et donc, trois jours d'attente, une salade d'endives au chèvre - devenue culte depuis... pfiou - à la sortie de l'entrainement-de-Monsieur, un dvd de Romero, et bim.
Et résultat : Fool's Gold, de nouveaux copains, le coquelicot, de nouveaux morceaux, Beirut en boucle, Xavier Rudd &JBT à Jarnac, quelques bières, l'Angleterre - Devendra Banhart à Soho et HAIR aussi, mais c'est déjà une autre histoire - rebim et le néant.

Et alors, les complications, l'echec une fois, et puis deux. VAAAAAS Y, j'avais envie de me faire casser les dents et de me prendre un iceberg. Il a été par-fait dans son rôle de glaçon géant qui cachait bien son jeu.
Donc acte.


Sinon, la découvert de la semaine c'est Brune et sa Rupture song qui rythme nos navettes hebdomadaires entre l'appartement et le supermarché entre coloc'. Ca sent surtout la fin de l'été et la profusion des genres dans les rayons, c'est IN-SU-PORT-TABLE (dixit celle qui débarque à Paris dans j-6) J'arrive pas à savoir si Brune m'énerve ou pas... Le comique de ma playlist du moment c'est que parfois se suivent La fille (!) - oui, on la croit quand elle nous chante qu'aujourd'hui elle ne se lave pas et on chante avec elle "i wanna be your cat" et aussi La femme (!) Allez savoir.

Les bonnes-nouvelles-ciné sont que I'm still here, le prochain film de Casey Affleck, vous savez le frère de Ben, qui a embauché son beau-frère et qui marque son GRAND-RETOUR-tant-attendu : Joaquin Phoenix, ne devrait pas tarder. &aussi, Terry Gilliam n'abandonne pas l'idée de faire son Don Quichotte. Y'en a qui ont du courage, mais sûr que Jean Rochefort n'en sera pas cette fois çi, peut être même pas Johnny baby.

Aussi, réouverture du Castel à Paris. On repense alors à ces soirées Pyjamas entre Beigbeder et Baer, le club du Caca's et quelques autres nuits blanches parisiennes qui ont vu défiler... disons. Dali, Sagan. Who knows si on finira pas quelques longues nuits là bas, un jour.

"we never knew"


Audrey Hepburn sauve mes soirées, entre les limites de Megavidéo (enjoy!), "Goin' on" de Gnarls Barkley, mes derniers jours de boulot/calvaire, la visite de mon appart' dans le Marais 5EDIT DU LENDEMAIN : oubliez. vous connaissiez les arnaques immobilières?), Dire Straits et les relents des nos étés passés qui sentent encore le sable chaud et quelques longues soirées, sans parler de la préparation psychologique à mon baptême de l'air (mercredi - parachutePARTY with best friend, t'inquiète) bref. Ouai, ça et une tasse de café.

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